Lundi 30 - Épilogue et retour

Atomium

Comme nous avions un peu de temps devant nous et encore des crédits sur notre carte de transport, nous sommes allés le matin vers l’atomium.

L'atomium
L'iconique Atomium

Le Wolf

Nous avons ensuite rejoint quelques-un.es rescapées du festival au Wolf. Il s’agit d’un espace avec plein de petits stands de nourriture (boulangers, pizzaïolos, restaurants asiatiques), avec un bar central pour les boissons, et des multitudes d’emplacements dans lesquels s’assoir pour manger. C’est un peu fancy, les tarifs sont plutôt chers, mais c’était idéal pour passer le temps tout en mangeant un morceau.

Le wolf
Le Wolf, avec son bar central et ses multiples stands

Après avoir grignotté un morceau avec les “survivantes”, nous sommes rentrés à l’hôtel pour retirer nos bagages en consigne, et nous avons rejoint notre train à la gare de Bruxelles Midi.

En arrivant à Lyon, nous sommes accueillis par Eugène, qui est ravi de nous montrer l’espace grand voyageur dont il gère l’entrée.

Épilogue

C’est la deuxième fois que je fais un festival de ce genre. C’est sûr que je me sens un peu étranger à cette communauté - je suis définitivement le cis blanc hétéro de base souvent décrié, je pourrais aussi être ce “monsieur tout le monde” qui pourrait également être client -, mais c’est tout de même une communauté accueillante, qui mériterait qu’on l’écoute un peu plus quand il s’agit de légiférer sur leurs droits.

Pour peu qu’on s’y rende avec la même démarche qu’un autre événement (au hasard le Chaos Communication Congress), il suffit de prendre le programme, de voir un peu ce qui pourrait nous évoquer des interrogations et des réactions, et cela se passe globalement plutôt bien, je ne me suis pas ennuyé de mon séjour, et le mix avec nos activités touristiques en on fait un séjour plutôt équilibré, au final.

De bons échanges, en résumé. C’est un peu plus concret pour moi ce que propose une domina comme services à ses clients, même si cela ne m’attire pas plus que cela :-)

Et:

Le butin
Le butin

Encore une fois, nous ne sommes pas rentrés complètement les mains vides.