Retour au travail
En me réveillant le matin, difficile de savoir qui j’étais, ce que je faisais là, et ce que je devais faire, et ce sans avoir pris de cuite la veille. Et quoi tirer des 150 mails professionnels à rattraper ? Le changement de contexte a été pour le moins brutal: il y a des blancs partout, les routes sont en bon état, on voit des cyclistes, il n’y a plus de montagnes de déchets, tout semble bitumé en ville, plus de cocotier, et j’ai ressenti une sensation de froid, j’ai du dormir sous ma couette cette nuit, chose qui n’était pas arrivée depuis fin mai / début juin. Dernière quête secondaire du périple: aller chercher Muscade, toujours en pension.
Voyons le positif: On a plein de piments, des souvenirs plein la tête et les bagages (du piment, des produits de là-bas, des kilos de tissu, …). Bref, on a certainement matière à continuer notre périple de bien des manières.
En fait, c'est pas tout à fait vrai, sans aide exterieure ... merci muscade pic.twitter.com/QEOf1yY5Wg
— Pierre Mauduit (@pmauduit) 29 septembre 2018