De Die à Lus-La-Croix-Haute
Après un rapide petit déjeuner dans une boulangerie avec terasse dans le centre ville, nous avons fini de paqueter nos bagages et nous sommes repartis de l’hôtel.
15 kilomètres plus loin environ, nous avons fait rapidement une première pause à Chatillon-en-Diois, le temps de recharger les bidons à la fontaine, et de prendre un café.
Nous avons continué notre route, et nous avons fait une pause pique-nique vers midi dans un village répondant au doux nom de “Glandage”, ce qui semblait approprié pour des vacances.
Suite à notre pique-nique, nous avons attaqué l’ascension du col de Grimone, que nous avons achevée vers 16 heures.
Puis nous sommes redescendu de l’autre coté, en direction de Lus-La-Croix-Haute. Anick souhaitait cocher un autre col à son palmarès - le Col de la Croix Haute, justement -, aussi avons-nous continué sur une route sur laquelle les automobilistes doublaient n’importe comment, et où c’était un peu flippant vu la taille des semi-remorques qui passaient par là.
Ayant un peu d’avance, nous avons fait quelques courses dans le village, avant de rejoindre la gare, fin de notre périple, le retour à la maison étant en train, avec à nouveau un changement à Grenoble.
Epilogue
Nous sommes arrivés en soirée à Chambéry, en retrouvant nos félidés. Un des inconvénients du bikepacking, c’est que par définition, on ne peut pas rapporter grand chose de nos périples ; nous sommes toutefois revenus avec un léger butin, afin de pouvoir a minima continuer un peu le voyage culinaire.
Un truc que nous aura appris ce périple, c’est qu’il faut tout de même prévoir des choses à grignotter afin d’avoir du sucre rapidement en cas de besoin, car effet covid ou peut-être juste le Vercors, dans des coins reculés, si on ne prévoit pas, on peut se retrouver bloqué en terme de restauration.
C’était quand même bien dépaysant, et nous avons eu un bon voyage avec ses excès, gastronomiques ou sportifs.