Libreville, Jour #1
Le matin, on aperçoit un peu plus l’entourage et les environs, car en arrivant en pleine nuit hier, nous n’avions pas eu l’occasion de voir grand chose. A première vue, c’est assez “vert”.
Point de vue depuis la terrasse de chez Christelle
Il fait plutôt chaud, mais à en croire le thermomêtre, moins qu’à Chambéry. Par contre c’est bien plus humide.
Au petit déjeuner, Christelle avait préparé mon arrivée: Confiture de marque Auchan, je ne m’attendais pas à ce qu’on trouve cette marque distributeur ici. Nous avions aussi du pain, rapporté par Maman Marie, la femme de ménage de Christelle, et nous avons pu goûter du miel gabonnais: C’est assez foncé, et très goûtu. Il faudra en rapporter en France.
Le petit-déjeuner chez Christelle
Les heures passent, on prend un apéro en début d’après-midi, Maman Marie part nous chercher nos consommations en ville, l’occasion de tester une véritable institution au Gabon: la Régab ; Une bière très classique / ordinaire, qui me rappelle la Casablanca testée quelques jours auparavant. Les gabonais sont assez fiers de leur bière, elle est certes tout à fait buvable, c’est un peu de la 1664 améliorée, mais on est loin des saveurs que l’on peut trouver dans les bières artisanales.
La Régab, contraction de "Régie Gabonaise des boissons", ou plus communément "RE.gardez les GA.bonais B.oire"
Graziella, la soeur de Christelle était de passage furtivement, nous repartons avec elle et Romuald pour se balader un peu dans Libreville. Nous en profitons pour visiter les locaux de l’entreprise familiale: SACAR, une société de courtage en assurances, pour laquelle Christelle assure, épaulée par Romuald, un certain nombre de missions. L’immeuble SACAR héberge aussi au rez-de-chaussée un fast-food nommé “Le Sacramento”.
Romuald nous sert de chauffeur et nous fait un petit tour de Libreville “by night” - ce qui n’est guère compliqué d’un point de vue horaire, la nuit tombant ici à 18h30 -, et nous finissons la soirée par des grillades à emporter de “Chez Jeannot, Affaire Louisienne”, qui sont assez réputés chez les gabonais. Il s’agit de notre premier contact dans notre addiction au piment, leur préparation de piments étant … assez relevée.
Un coucher de soleil sur Libreville