17 August 2018

Retour à Libreville

Il n’y a pas grand chose à noter cette journée, nous sommes partis vers 10h30 et nous sommes arrivés vers 18h30. Tout comme à l’aller nous avons refait une pause à Ndjolé et mangé à nouveau des coupés-coupés. Encore une fois, nous avons nourri 3 personnes pour environ 10 euros, Romuald préférant manger du poisson de son coté.

Comme le voyage en voiture n’était de par nature pas très passionnant et que le réseau GSM n’était pas forcément disponible pour nous autres drogués de l’Internet, nous avons joué avec Anick au jeu d’essayer de noter les détails des chansons de la playlist de Romuald qui tournait en boucle, pour tenter de retrouver plus tard le nom des chansons ; on a finalement trouvé une dizaine de titres:

Notre accès
Internet
J'oubliais de vous présenter notre accès Internet pour le mois: Christelle nous avait crédité 20 GB, que nous avons quand même réussi à exploser.

Amusant de voir que dans la liste, il y a des noms connus en France. J’avoue que je suis plus rock alternatif / Metal, donc je ne connaissais Maitre Gims que de nom, et encore j’aurais pu dire qu’il s’agissait d’un youtubeur, c’est dire mon ignorance …

Sur la route, Christelle achète un énorme sac de piments, qui ne ressemblent pas aux piments rouges longs, mais plutot à des poivrons miniatures. Elle a l’intention de nous préparer un bocal de purée de piments, mais notre planning ne nous le permettra pas malheureusement. Nous ne serons toutefois pas en reste vis à vis de la quantité avec laquelle nous quitterons le Gabon.

Sac de piments
Sac de piments, acheté sur la route

En rentrant chez Christelle, le compteur électrique sonnait. En effet, sur le même modèle des cartes rechargeables de téléphonie mobile, il arrive que les gabonais préfèrent avoir un compteur avec des unités de Kilowattheures, plutot que de payer un abonnement.

J’oubliais: Le 17 août est donc la fête nationale, qui commémore l’indépendance du pays, et cela fait 58 ans cette année. À cette occasion, des militaires défilent, finalement un peu comme lors de notre 14 juillet, mais la particularité, c’est que n’importe qui et notamment des civils peuvent prendre part au cortège et suivre la marche des militaires. J’ai enregistré leur chant juste avant notre départ de l’hôtel.